vendredi 7 octobre 2011

J'étais venu te dire que je m'en vais...

Mais quelques mots justes, portés d'expérience sur mes derniers désœuvrement ; une note écrite en brouillon dans un coin de mon tableau de bord prête ou  presque à paraître ( j'ai un tag de retard) et un évident besoin de revenir de mes errements, pour mieux aimer et aider les miens, font que je ne supprimerai pas ce blog !
Alors je reviens !!!
Enfin peut être, je ne sais pas trop ou je vais, mais je vais y aller.
Quand les mots seront là , je les ferai rimer, valser à deux temps sur le toit d'une tour aveugle, voltiger dans des volutes de vapeur soulevées par la passion, briller....
....WOWWW calme ton cheval !!
Disons que je ne baisse pas les bras, je patiente et surtout à bientôt j’espère, en prose ou en vers.

mercredi 15 juin 2011

Vous allez tout savoir ....

J'y crois pas je me suis laissé attrapé au jeu des tags, par Jeanne 

Attrapez le livre le plus proche, allez à la page 18 et à la 4ème ligne : Qui y a-t-il d'écrit ?
"Les Wroshyrs étaient encore assez grands pour que le plancher de la forêt reste un endroit très sombre".
Et oui, je lis de la science fiction et là , c'est "L' héritage de la force" tome 7, l'une des nombreuses suite de Star Wars. Cet univers étendu au film est tellement bien conçu, pensé et écrit qu'il se lis finalement "goulûment" 
Quelle est la dernière chose que vous ayez regardée à la télévision ?
Hier Soir, c'était X factor, je suis fan de ce genre, et j'assume. Enfin fan du coté télécrochet, pas de la télé réalité, c'est pour ça que la Star 'Ac j'ai pas aimé, mais popstar et à la recherche de la nouvelle Star, c'était plutôt sympa.
En dehors de l'ordinateur qu'entendez-vous ?
Celui de l'aspirateur pendant que je suis là à répondre à ce questionnaire... Comment ça je pourrais aidé à faire le ménage ? Je ne paie pas une aide à domicile pour faire le ménage moi même !!
Quand avez-vous ri pour la dernière fois ?
Hum, au boulot , pour faire bonne mesure avec les collègues, je ne sais plus trop le sujet, des blagues bien grasses je suppose. Sinon quitte à faire tristounet, j'avoue que je ne sais plus quand j'ai vraiment ri avec plaisir, sans arrières pensées, sur des sujets légers...
Quel est le dernier film que vous ayez vu ?
PFFF!!! chai pu. C'est peut être un film enregistré, avec Tom Cruise "Minority report" Oui, je sais c'est encore de la science fiction, mais voir ou lire des trucs qui me rappelle trop la réalité ça me déprime.
Si vous deveniez millionnaire dans la nuit quelle est la première chose que vous achèteriez ?
Un nouveau téléphone portable, le mien ne charge plus. Après je verrais comment je pourrais faire pour ne plus avoir à bosser grâce à ça ;-)
Dites-nous quelque chose de vous que nous ne sachions pas encore ?
Je me rase les aisselles, je trouve que les grands poils sous les bras ça fait moche, ça gratte et ça pu.
Quel serait le prénom de votre enfant si c'était un garçon
J'ai déjà 2 garçons et pour les prénoms je sèche, on a déjà tout écumer avec ma femme entre les prénoms et les seconds prénoms...
Si c'était une fille ?
Sara, mais Sara n'est jamais venue, et maintenant après 2 gars on arrête là !!

Avez-vous déjà pensé vivre à l'étranger ? Si oui où ?
Oh grand Dieu que NON !!!  Ni en rêve, ni en cauchemar. Je suis si bien en France, et plus précisément dans ma petite ville que j'adore.
 Que voudriez-vous que Dieu vous dise lorsque vous franchirez la porte du paradis ?
Tu vois j'existe vraiment ...
Aimez-vous danser ?
J'aime ça autant que les poils sous les bras... Çà fait moche, ça gratte et ça pu, quand je danse.
Avez-vous vu quelque chose d'étrange aujourd'hui
J'ai répondu à un Tag, alors que j'ai rien écrit depuis un moment sur mon Blog, si ça c'est pas étrange.
Quand vous êtes sortie la dernière fois qu'avez-vous faite ?
Les courses, ça c'est une réponse Fun ou je ne m'y connais pas ;-)


mercredi 18 mai 2011

petit test créatif

Voici un petit test créatif, que je tente sur une musique d'Azereus : Elliptic drop.
C'est une jolie composition qui a su m'émouvoir.
Le morceaux m'aillant inspirer un texte, je le laisse ici à la disposition d'Azereus.
Je vais donc laisser le texte ainsi qu'un test chanté (fait en une prise, désolé pour la qualité du chant ;-) ), à fin de se faire une premiere idée du potentiel du texte et de son accord avec la musique. (aucune prétention sur mes qualités de chanteur, je pense qu'il vaut mieux une vrai voix).


Retour à l'amer (titre provisoire)
J'étais planté seul, au milieu du trottoir alors qu'il pleuvait des cordes.
Mais quelle idée folle d'en saisir une, pour monter jusqu'à toi .
Des cales dans les mains, du chanvre dans la tête, je n'étais plus moi.

J'étais planté seul, au milieu du trottoir alors que cognait le soleil.
Les poings en l'air, je voulais lui rendre coup pour coup, pour toi,
Toi qui m'abandonna là, des bleus à l'âme, je n'étais plus moi.

Telle une goutte qui retourne à l'amer,
Je serais un homme qui retourne à l'amour
Evaporation de mes sentiments d'hier
Je retourne à la vie pour toujours.


PS : merci Jeanne de ton soutien lors de mon dernier post, et surtout désolé, de n'avoir pas répondu. Lorsque la valse des émotions m'emporte, le repli sur moi même m'impose ses rêgles

mercredi 27 avril 2011

...

Même pas le courage de faire rimer mon mal de vivre, pourtant j'y trouvais souvant matiere à quelques rimes honnêtes.
Je sens bien que je tombe dans une spirale qui se replie inexorablement vers son propre centre. Je me bas contre moi même, mais n'y arrive presque plus. Le retour du soleil était pour moi le point de départ d'une régénération, qui aujourd'hui ne vient plus.
Et plus que jamais mon hyper sensibilité me rend autiste...
Habituellement je ne supporte pas le "je" au point ou quand il m'arrive de le prononcer ou de me mettre un tant soit peu en avant je regarde autour de moi pour voir si je ne choc personne. Mais là j'en peux plus j'explose ou plutôt, j'implose, je suis un arbre qui tombe dans une foret isolée, je ne fait pas de bruit.
Je ne supporte plus la violence quelqu'elle soit. Quelle se trouve dans un mot, une parole, un regard elle me fige.
J'ai du mal à supporter que l'on hausse le ton pret de moi, que l'on ne voit que le verre à moitié vide, qu'on ne veuille pas essayer juste pour voir si ça peut fonctionner, qu'on refuse de faire un truc simple juste par principe, qu'on refuse d'écouter, parce que l'autre à forcement tord vu qu'il ne pense pas comme nous... Et je ne parle pas de ces dictateurs qui massacre leur peuple car il en dispose à leur convenance, de cette jeune femme qui doit laisser son amant au Japon pour un temps trop long, proche de cette centrale qui menace et des désormais trop classique enfants qui meurt de faim au 4 coins du monde mais aussi très près de nous...
On pourrait croire à un petit coup de blues sur fond d'actualité sordide, mais non c'est bien plus profond que ça ( pour une fois qu'il y a un truc profond chez moi).
Je me referme, me repli sur moi même et alors que j'ai déjà pas beaucoup d'ami (en fait aucun), je me rends de moins en moins à même d’exorciser mes prostrations avec qui que se soit (d'ou certainement ce blog).

Je sais malheureusement se qui me rendrait le sourire, mais il semble que je m'en détourne presque volontairement, tant je n'ai plus la force de me battre contre moi même. Il me suffirait juste de pouvoir ne garder à l'esprit que c'est petite choses positives, comme une glycine en fleur, l'odeur de l'herbe fraîchement coupé, le bisou sur la joue de son enfant reconnaissant, mais tout cela est devenu bien pal dans mon esprit.

Je ne me raccroche plus qu'au sourire de la femme que j'aime, ses baisés et ses étreintes devenues bien trop rares, probablement du fait que je n'arrive plus à sourire naturellement, du fait que je n'ai plus envie de rien. Il n'y a qu'elle qui peut me sauver, et je me rend compte que je suis en train de m'isoler même d'elle.

mardi 12 avril 2011

Parfois...

... Je n'en peux plus d’être moi,
de mes doutes, mes paradoxes
du solstices de mes émois
de mon besoin d'équinoxe.

Souvent...

... trop calme au souffle du vent,
je tremble de folles colères,
de terreur  et mes enfers
ces doutes et mon néant.

Toujours...

... seul au milieu de ma tour
les murs de peines en retour
les meurtrières mon recours
pour m'accrocher mon amour.

Toi...

... Souris moi
... Console moi
... Etreinds moi
... Aime moi

mardi 22 mars 2011

Ete 87 je ramenais de Londre une K7 de Public Enemy, avec ce titre inside. Une sacrée Pu**** de claque musicale. C'était dépouillé, c'était violent, c'était nouveau, enfin étrange quoi...
 Je découvrais le rap pour la première fois, et je m'y suis laissé aller un petit moment mais finalement se n'était pas pour moi. Je ne dis pas non pourtant à un bon Akhénaton, ou un Eminem.
Pour faire bonne mesure, j'avais ramené aussi de ce Londre 87 Paula Abdul avec son Straight up, so british touch et les Banarama (bah oui, personne n'est parfais, mais j'assume complétement ;-)) mais ça c'est une autre histoire.

samedi 19 mars 2011

Pierre is coming

J'ai jamais été un enfant précieux, mais surprotégé c'est bien possible. Bercé dans une éducation mi méditerranéenne, mi chti, et pétri des préjugés et de la moral judéochrétienne, j'ai grandi en ne me posant qu'une question : "qui je suis?".


Tout était calé, la vérité était vivante autour de moi, mais moi...

Je me suis cherché tant et tant que je me suis laissé aller à toute sorte de mimétismes, pour savoir.

D'auto questionnement en observation, je me suis construit, je me suis fait.

Et le jour ou l'on sait, et bien que l'on aime la réponse, on n'assume pas forcément tout. Il faut dire que se n'est pas toujours simple d'afficher au monde qu'on n'est pas tout à fait comme la majorité.

Je me souviens de cette année de seconde où tous les midis ou presque je restais assis à coté d'un pote.On ne bavardait pas beaucoup, dans ce couloir ou on attendait le prochain cours. Je me posais des tas de questions mais je savais juste que j'étais bien là.

Je me souviens de cette année de fac, ou j'étais un peu jaloux des nouvelles petits amies de mon pote de fac, qui finissaient toutes pas le rendre malheureux. Il finissait toujours par pleurer de rage et de désespoir dans ma voiture, moi a ces coté pour le réconforter, lui rappeler qu'il avait le droit de pleurer, et de ne pas être juger pour ça.

Mais tout ça ne répondait pas à ma question...

vendredi 18 février 2011

Si je m'écoutais

Si je m'écoutais, je dirais à tous ces crétins d'arrêter de se préserver du pire car en faisant cela on se préserve aussi du meilleurs.
Si je m'écoutais je dirais à tous ces croyants si sûr d'eux, qui peuvent se battre au nom de leur croyance, se trompent aussi sûrement que l'homme par nature ne peut comprendre la nature divine. L'Homme faillible ne peut que tromper la parole divine à laquelle il se reporte, et de fait Dieu par nature, ne se manifesterait jamais aux Hommes, ni même livrererait sa parole qu'il saurait transformée.
Si je m'écoutais, je clamerais à tous, que je ne changerai rien de ma vie, pas même ces moment où on a mal à en hurler, même si ça devait faire en sorte que mon père ne se suicide jamais.
Si je m'écoutais, je laisserai enfin une personne devenir mon ami, ne serait se qu'une foi dans ma vie, histoire, de pouvoir partager, tant d'autres "si je m'écoutais".

mercredi 2 février 2011

Ma priere

Je sais les mensonges de l’humanité, quand elle se prend au sérieux.
Je sais les non dits de cette humanité qui crois savoir et ferme les yeux.
Je crois savoir leur incompréhention mais j’ai mon humanité.
Je crois comprendre mais j’ai mes doutes, mes infirmités!

Bercer nous d’ humilité, de patience et d’amour.
Ambraser nos cœur sans passion, sans détour.
Grandir notre envie , notre avis , notre vie.
Taire et le bien et le mal , pas les cris!

Envoler les ombres qui nous accablent,
Sans lumiere les ombres sont bien plus pales.
Loin des pensées, les Dieux ne sont que des fables.
Libre plus rien ne nous fait mal!

lundi 31 janvier 2011

Les ombres et les rumeurs

Mystère ami de la vie
Rouge mer, noir ennuie.
Voie sourde d'un muet
Ecoute le destin inchangé...

D'un homme qui veut le savoir,
Qui hait la mort, qui aime le noir.
D'une nuit blanche parsemé de soleil bleu,
D'une montagne souterraine, aux crevasses en plein cieux.

Mystère ami de la vie,
Ennemi du présent.
Horreur plaisante d'une nuit
Stimulation d'un instant...

Fait nous goûter à jamais
De tes saveurs amères sans regrets.
Pour qu'à jamais on ait le bonheur,
De savoir qu'on est pas des rumeurs

dimanche 23 janvier 2011

Femme de marin perdu en mer

Sur ce bois à la dérive en mer d'Iroise,
Je peux voir le sang des terres
Couler en tapis de bruyère,
Le long des remparts de pierre

L'écume blanche fracassée, sur les falaises acérées,
Au milieu des eaux opales,
Me rappel les yeux de l'homme aimé,
Un marin parti en mer.

Mon embarcation détruite
Au pied des enfers,
J'espère que cesse l'attente
Que les Dieux m'envoie secours ou mort.

Mon enfants c'est ici que ta maman meurt,
C'est ici que je péris en mère,
Que je te laisse au bras de ton père
Mon fils au creux du cœur.

Et si mes bras lâche et que mon corps coule
Comme coulent les larmes de mon enfant,
Ses yeux opales au loin sur le ponant
voient s'éteindre sa mère dans la houle.

Mon embarcation détruite,
au pied des enfers
j'espère que cesse l'attente,
que les Dieux m'envoie repos et mort.

samedi 22 janvier 2011

Post it

Quand la danse à deux temps, ne laisse plus que des victimes, désorientées et étourdies, il ne reste plus qu'à ajouter un temps celui des post it, couvrant le silence assourdissant des regrets, et osant toutes les providentielles lâchetées.

Elle déchire ce petit papier jaune qui colle encore un peu sur sa joue humide,

Elle déchire ce petit papier jaune, ou les mots au bic bleu dilué par les larmes disait comme il l'aimait,
Elle déchire ce petit papier jaune ou les mots parlaient d'une autre époque,
Elle déchire ce petit papier ou cette note assassine n'avait pas déjà déchiré son univers.

Cette note qui jouait l'humour, comme il l'avait toujours fait.
Elle aimait son humour, jamais méchant qui la faisait rire
Et puis cette note qui lui disait " je te fais le coup de la boite d'allumette Adieu"
Cette douleur qu'elle n'avait jamais connu, et l'humour disparu.

Elle venait de découvrir qu'il n'y avait pas plus de prince charmant que de princesse,
Et qu'il était un homme comme tous les lâches.
Si peu capable de dire je t'aime droit dans les yeux,
Mais assez lâche et violent pour dire adieu.

Elle déchire enfin ce papier jaune qui colle plus ni à sa joue ni à son coeur,
Elle déchire enfin ce papier jaune, cette dernière trace de sa douleur...
Qui ne disparaîtra peut être plus jamais.

vendredi 21 janvier 2011

Eveille...

Sur la conscience qui se fait plus aigue, les idées deviennent claires...
La prise de conscience révéle l'égoïsme de chacun, la solitude de tous...

Elle se reveille avec cet homme qui dort,
A cotés de ses remords.
Mais il ne l'aimera pas plus que son corps,
Et il ne lui donnera pas plus que l'aurore.

Il lui ecrira des "je t'aime en papier"
Qui brulent sur les lévres lassées.
En cendres noircies sur les coeurs,
Qui effacent la douceur.

(elle est romantique et elle le cherche)

Il est seul dans son coeur cabossé
Quand elle est seule dans ses bras.
Il ne saura jamais vraiment aimer,
Alors qu'elle est si bien dans ces bras.

Et c'est au fond de son corps,
Quand il ne ressent plus les draps,
Qu'il l'aime un peu plus fort,
Et qu'elle regrette ces bras.

Quand ils se désaimeront,
Quand viendra le temps du desamour,
Ils partiront sans regret; l'amour était si bon,
Ils l'auront vécu chacun leur tour.

L'amour dance sur un temps...
A deux temps, les coeurs valsent, tournent et s'étourdissent...

mercredi 19 janvier 2011

Dessines

Ses lignes écrites, au creux de mes mains.
Raconte notre histoire, raconte notre amour.
Ses traits dessinés, nue au fusain.
S'estompe sous mes doigts, caresse au détour.

Je te joue ces notes, sur ce piano vide.
quand tu es si loin, je t'aime toujours.
je te joue ces notes, sur ce piano aride.
quand tu n'es pas là, je t'aimerai toujours.

je t'aimerai toujours

J'attends nos retrouvailles, et nos lévres mélées.
Comme les battements, de nos coeurs enlassés.
Je nous rêves déjà, uni pour toujours.
Mais c'est sur ce piano, que je te crie mon amour.

Que je te joue ces notes, sur ce piano seul.
Quand tu n'est pas là, tout prêt de moi.
Que je te joue ces notes, sur ce piano seul.
Quand tu n'es pas là, tout contre moi.

Tout contre moi

dimanche 16 janvier 2011

Se relever encore et toujours

J'étais planté seul, au milieu du trottoir alors qu'il pleuvait des cordes.
Mais quelle idée folle d'en saisir une, pour monter jusqu'à toi .
Des cales dans les mains, du chanvre dans la tête, je n'étais plus moi.

J'étais planté seul, au milieu du trottoir alors que cognait le soleil.
Les poings en l'air, je voulais lui rendre coup pour coup, pour toi,
Toi qui m'abandonna là, des bleus à l'âme, je n'étais plus moi.

Telle une goutte qui retourne à l'amer,
Je serais un homme qui retourne à l'amour
Evaporation de mes sentiments d'hier
Je retourne à la vie pour toujours.

Réaliser...

... Que l' on puisse l'aimer encore et toujours,
... Que l'on puisse tomber amoureux "d'elle", plusieurs fois par seconde
sans rien y pouvoir,

parce que

"Ce n'est qu'un songe sur une épaule
Revétue et c'est déjà beaucoup
Idée étrange qui pousse vers le cou
Sans que rien ne te désigne ce rôle
Torturé par l'habituel « Ah »
Essouflé par le simple « Aime »
Lentement dans les yeux qui sément
Lier ces étincellants éclats
En gerbes de sentiments

Juste pour que les reflets verts
Et que les ors prennent cet hélan

Te rendant à tes airs
Alliée imprévue d'inspirations
Idées subtiles et sans hésitation
Me conduit
Etrangement loin d'ici ."

Elle est libre

Elle... est libre,
Ils lui donnent la déraison.
Chacune de... ses fibres,
Vibre pour eux à l'unisson.

Aimer le sage
Aimer le fou
Oui mais aimer quand même.
Montrer la bague,
Cacher l'alliance,
mais vivre les sentiments

Refrain :
Lili n'en veut plus
Pas de choix, elle les aimera ou pas
Lili la cru
Aimer plus, la libertine est là
Lili l'a lu
L'amour est plus grand que les "quand dira"
Lili créera,
les choix qui ne se font pas.

Elle... est ivre
D'amour, pour eux c'est la passion.
Elle... se livre,
Avec ou sans ébat à la sanction.

Montrer... jamais
Qu'il est temps pour elle
De vivre l'important
Cacher... toujours
Que l'amour
Vaut bien toutes les conditions

Refrain

Loin de Messine
Les fils de Charybde et de Scylla
A l'âme paladine,
N'impose auncun choix
Car le danger ne vient pas des monstres,
Mais des vertues austeres,
Ces bonnes intentions qui nous livrent aux crocs de cerbere
de l'autre ces choix
qui de nos chaines fait le poid

Aimer et se défaire des chaines
Vivre si fort
L'amour sans peine
Donner ces rêves
emprunter les ailes
et recevoir l'harmonie Lili

Refrain